L'Exposition Lunatique
L’Exposition Lunatique
2 octobre – 14 novembre, 2010
Avec: Francis Alÿs, Kennedy Browne, Jason Dodge, Hans Peter Feldmann, Christoph Keller, Julius Koller, Anthony McCall, Roman Ondák , Pratchaya Phinthong.Une proposition de Rozenn Prat.
La Fondation Kadist a le plaisir d’annoncer le deuxième volet de « Points de vue sur la collection »,
une série d’expositions conçues à partir de sa collection.
En 2009, Jeremy Lewison avait proposé “Capturing time”, une exposition qui abordait la question du temps et des notions qui s’y rattachent.
Cette année, nous vous invitons à découvrir “L’Exposition Lunatique”, imaginée par Rozenn Prat, membre du comité de la Fondation Kadist.
Une errance entre formes, idées, mots, projections, ainsi se tisse “L’Exposition Lunatique”, à la fois absurde et lacunaire. Il faut en éprouver les espaces, y ressentir l’entrechoquement des visions, des décalages, des agations et, à travers toutes ces hypothèses, poursuivre une espérance vaine et absolue.
Tels des Icares modernes, nous penserons le vide, pour étirer ces nouveaux espaces, à la conquête de l’utopique. Relançant le mythe de la découverte, entre l’intelligible et le sensible, “L’Exposition Lunatique” souligne la tentative d’être pionniers de l’hypothétique.Que serions-nous sans ce qui n’existe pas ?
L’Exposition Lunatique
October 2 – November 14, 2010
With works by: Francis Alÿs, Kennedy Browne, Jason Dodge Hans-Peter Feldmann, Christoph Keller, Julius Koller Anthony MacCall, Roman Ondák, Pratchaya Phinthong. Curated by Rozenn Prat.
Kadist Art Foundation is pleased to announce the second exhibition to be drawn from its collection. In 2009, Jeremy Levison had proposed Capturing Time, an exhibition that addressed issues relating to time. This year, we would like to invite you to discover L’Exposition Lunatique curated by Rozenn Prat, one of the committee members of Kadist Art Foundation.
L’Exposition Lunatique consists of a wandering between forms, ideas, words and projections becoming absurd and flawed at the same time.We must experience these spaces, feel the clashing visions, the shifts and digressions, and through all these hypotheses, follow a futile and absolute hope. Like modern Icaruses, we will think the void, in order to stretch these new spaces, towards the conquest of the utopian. Reviving the myth of discovery, between the intelligible and the sensible, L’Exposition Lunatique emphasizes the attempt of being pioneers of the hypothetical. How could we live without what doesn’t exist?